Les Major League Gaming (MLG), des vidéos à ne pas manquer

By on 18 mai 2015
Les Major League Gaming (MLG), des vidéos à ne pas manquer

Depuis quelques temps, une nouvelle mode envahit le monde du jeu vidéo et de l’internet.

Les MLG ou encore Major League Gaming(représentant le sport électronique) sont des montages vidéos de quelques minutes modifiant de façon humoristique certains passages de jeux vidéos ou encore de film. Plusieurs éléments font qu’un MLG est meilleur qu’un autre comme la présence d’absurdité, les mêmes musiques fortes et dérangeantes de genre Dubstep, la présence de 8 qui remplacent le son  »eight », diverses fautes d’orthographe, les doritos, les explosions, Snoop Dogg, le klaxon, le «360 no scope» présent dans divers jeux de tir à la première personne comme Call of Duty ainsi que le «420 blaze it» et les «illuminati»

Les montages qui parodient la culture vidéo-ludique ou cinématographique sont apparus sur Youtube vers 2010. Voici cinq MLG marquants depuis ces cinq dernières années.

C’est le premier MLG connu par les internautes. Toutefois, il est loin d’être le plus populaire même so c’est lui qui a commencé l’avalanche de montages désormais présents sur Youtube.

À l’heure actuelle, League Of Legends est le jeu le plus populaire au monde et la finale des derniers championnats du monde a attiré plus de 30 millions de téléspectateurs et a rempli un stade de 80000 personnes. De plus, Riot Games fait quelques fois des montages que beaucoup s’amusent à parodier. En voici un très drôle.

https://www.youtube.com/watch?v=DUQXRcKgak8

Un MLG qui représente des moments forts de Terminator. Il a été très bien réalisé et c’est un de nos coups de cœur humoristique.

On apprécie celui-ci par sa qualité de réalisation au niveau technique et l’humour est toujours à la hauteur.

https://www.youtube.com/watch?v=knHt72ct5yo

Vous ne verrez plus le Titanic de la même façon. De nos jours, les réalisateurs arrivent à trouver d’excellentes idées, même sur les films les plus cultes.
 
Écrit par Nicolas Sourd, Olivier Hould.

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